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PCAET de la CABBALR : un bilan à mi-parcours pour ajuster l’action climatique

Conformément à l’article R.229-51 du Code de l’environnement, chaque Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) doit faire l’objet d’une évaluation à mi-parcours trois ans après son adoption.

La Communauté d’Agglomération Béthune-Bruay Artois Lys Romane (CABBALR), pour laquelle auddicé avait déjà réalisé l’évaluation environnementale de son PCAET 2020-2026, a souhaité être accompagnée dans la réalisation de son bilan à mi-parcours.

« Le PCAET 2020-2026 de la CABBALR a été élaboré avant les élections municipales de 2020, puis mis en œuvre sous un nouvel exécutif. Ce changement de gouvernance a soulevé la nécessité de s’assurer que les orientations stratégiques du plan restaient en phase avec les priorités politiques actuelles.

Ce bilan à mi-parcours nous a permis de faire un point d’étape objectif sur l’avancement des actions engagées et sur la bonne orientation de nos trajectoires. C’était également une opportunité de réengager les parties prenantes et de renforcer la dynamique collective autour de la transition écologique. Ce bilan s’inscrit dans une logique d’amélioration continue. » explique Camille WEBER, chargée de mission Climat Air Énergie à la CABBALR.

La première étape du bilan a consisté à rencontrer les pilotes de chaque action afin d’évaluer leur état d’avancement. Une évaluation quantitative en termes de réduction de consommation énergétique et d’émissions de gaz à effet de serre (GES) a été réalisée.

Des ateliers internes organisés avec les référents de la collectivité ont permis de vérifier la cohérence des résultats et d’identifier des actions en cours, non intégrées initialement au plan d’actions du PCAET.

« La méthodologie, à la fois structurée et participative de l’équipe auddicé, nous a permis de croiser les données quantitatives avec les retours qualitatifs des acteurs. Cela a donné lieu à une évaluation fine, concrète et directement mobilisable pour la suite du PCAET.

Nous avons apprécié leur capacité à vulgariser des éléments techniques complexes, ce qui a facilité l’appropriation des résultats par les élus et les services. En résumé, une collaboration très positive, qui a renforcé notre capacité à piloter efficacement notre transition énergétique » conclut Camille WEBER.